Dans quelques semaines, le The Hobbit: The Battle of the Five Armies sera à l’affiche à travers le monde. Pour cette occasion, nous avons exploré les recherches tournant autour des fans de Tolkien, en particulier ceux des films tirés de son œuvre. Lire la suite « Nous sommes fans… de Tolkien »
Catégorie : Ressources
Nous sommes fans… des Hunger Games
Il n’est pas facile de trouver des études sur les fans d’Hunger Games. Cependant, cette trilogie exerce bel et bien une fascination sur les chercheurs. À titre d’exemple, Sean P. Connors, spécialiste en littérature pour adolescents, a édité cette année The Politics of Panem : Challenging Genres, qui offre plusieurs interprétations de la série par différents auteurs. L’introduction, écrite par Connors, résume bien le succès d’Hunger Games.
Nous sommes fans… de Naruto
15 ans et 72 volumes plus tard, le manga Naruto tire bientôt à sa fin (Source). Quelques études portant spécifiquement sur les fans de ce manga ont été repérées, l’une présentant une vision externe du fandom et l’autre, une vision davantage interne. Voici ce que nous avons résumé pour vous.
Nous sommes fans… d’horreur
Pour faire suite à notre billet sur les fans de vampires, nous poursuivons avec les fans de l’horreur. Qu’il s’agisse de littérature ou de films, ces fans suscitent la curiosité depuis plusieurs années, notamment lors des vagues de slashers, ces films dans lesquels un meurtrier s’en prend à un groupe d’adolescents.
Nous sommes fans… des vampires
Le mois d’octobre est propice aux histoires de monstres fantastiques, surtout au cinéma. Pour ce billet, nous allons nous pencher spécifiquement sur les fans de vampires, qu’ils soient ceux de Bram Stoker, d’Anne Rice ou de Stephanie Meyer.
Nous sommes fans… de Batman
C’est ce soir qu’aura lieu la première de la série Gotham, basée sur la franchise de Batman. Apparu en 1939, le Chevalier Noir et son univers continuent d’inspirer de nouvelles œuvres, qu’elles soient télévisuelle ou cinématographique. Œuvres qui ont, à leur tour, inspiré plusieurs études académiques.
Nous sommes fans… des Sims
Les fans de jeux vidéo de simulation connaissent bien Les Sims. Sorti en l’an 2000, ce jeu s’est vendu à plus de 16 millions de copies (Source). Quatorze ans et plusieurs expansions plus tard, la dernière nouveauté de la franchise, Les Sims 4, est disponible sur le marché. Quelques articles apportent un éclairage intéressant à cette série.
En 2002, l’auteure J. C. Herz s’intéresse aux créations de fans dans l’article Harnessing the Hive: How Online Games Drive Networked Innovation. Dans le cas des Sims, quatre mois avant son lancement, les développeurs ont rendu accessible les outils permettant entre autres de modifier le mobilier disponible dans le jeu. Lorsque le jeu fut sorti, il existait 50 sites de fans des Sims et 40 créateurs de contenu lié au jeu. Un an plus tard, c’était 200 sites de fans et 150 créateurs. Enfin, au moment de la rédaction de l’article, Herz mentionne que plus de 90 % du contenu des Sims est produit par les joueurs (Herz, 2002, p. 12).
La création de contenu original devient même un prétexte pour créer un projet de recherche. En 2006, SimsSavvy est fondé dans le but d’étudier les communautés de fans des Sims et de Second Life, mais aussi l’apprentissage de compétences digitales chez les femmes. Dans une de leurs communications présentées en 2008, Elisabeth R. Hayes, Elizabeth King et Jayne Lammers ont révélé quelques raisons poussant les femmes à créer du contenu original pour Les Sims 2 :
Some women referred to the “limitations of real life” as a motivation for custom content creation. For example, an architect said “I like the fact that I can carry out the most unreal projects and build houses that probably wouldn’t be built in real life. I love building houses that are out of this century, for example Victorian buildings.” Another woman reported: “I love to decorate my own house and am a Home Improvement show junkie. I watch them all Trading Spaces, Design on a Dime, Sell this House. I just finished a 2200 square foot remodel of my own house. Creating for the Sims was just another outlet for my obsession with redecorating.” (Hayes, King et Lammers, 2008, p. 3)
Cinq ans après la sorties des Sims 3, est-ce que le jeu Les Sims 4 va réussir à se démarquer de ses prédécesseurs ? Selon Michael Pachter, de Wedbush Securities, le jeu entre en compétition avec les jeux conçus pour les tablettes mobiles, souvent prisés par les femmes.
Women are playing a lot of Candy Crush Saga, Kim Kardashian : Hollywood and hundreds of other mobile and tablet games, as well as social games on Facebook […]. [The Sims] is clearly a social/role-playing game, and its addressable market has been cannibalized by other social games. (Source)
Néanmoins, M. Pachter estime que le nombre de fans fidèles à la franchise se situe entre trois et cinq millions. Un nombre suffisant pour se lancer rapidement dans la création de logiciels et objets compatibles avec le dernier jeu, comme le démontre ce message du site ModTheSims.
Nous sommes fans… de Tintin
Ce soir, Télé-Québec diffusera à 20 h 59 Au Québec avec Tintin. Inspiré du livre Tintin et le Québec – Hergé au cœur de la Révolution tranquille de Tristan Demers, ce documentaire posera un regard sur l’influence culturelle et sociale de cette œuvre au Québec. Qu’en est-il du reste du monde ?
Nous sommes fans… de télévision québécoise
Septembre étant enfin arrivé, les Québécois pourront se consacrer à l’un de ses loisirs préférés : la télévision. En effet, selon le centre d’études sur les médias de l’Université Laval, les Québécois consacraient 34 heures par semaine en 2013. Du côté des Québécois francophones, ceux-ci accordent 92,9 % de ce temps sur les réseaux de langue français. (Source) En ce temps de rentrée télévisuelle, nous vous proposons un bref coup d’œil sur les études portant sur les différents types d’audience.
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Nous sommes fans… du Moyen Âge
Cette semaine débute la série documentaire Moyen Âge Québec, qui sera diffusée sur Historia. Selon le blogue de cette chaîne télévisée, on recense plus de 50 000 Québécois adeptes du Moyen Âge. Comment est-ce possible, dites-vous ?